LA QUINZAINE DE L’ART CONTEMPORAIN

15 – 30 mai 2021

 

La Quinzaine de l’Art contemporain

Événement
15 – 30 mai 2021

> Réseau Seize Mille <

Les Ateliers Vortex présentent l’exposition « Hypercontrôle » d’ANTOINE NESSI à l’occasion de la Quinzaine de l’Art Contemporain 2021.

«Dans mon travail de sculpteur je m’intéresse aux formes productives, c’est à dire les outils et les machines qui produisent ce qui nous nourrit, nous équipent… (…) En partant du postulat que ce que nous fabriquons nous fabrique en retour, j’imagine des usines et des lieux de production dont le produit final est l’être humain. »

À découvrir en ligne pendant l’exposition, 7 mai au 19 juin 2021.


> Événement Facebook <

> Lien vers l’exposition <

> Atelier en ligne <


Conception graphique: © Atelier Tout va bien, 2021

LA PASSANTE

samedi 26 septembre 2020

 
.hts://www.youtube.com/watch?v=t4R4iy1kbBE&feature=youtu.

LA PASSANTE

Performance
samedi 26 septembre 2020

> Sanja Todorovic <

Les Ateliers Vortex ont convié l’artiste Sanja Todorovic à réaliser une performance inédite, intitulée La Passante. Cet événement fait suite à une invitation de Why Note, sur une thématique arts visuels et créations sonores, avec le soutien du Consortium Museum.

« Une barre centrée sur un podium circulaire est cernée par quatre ou cinq enceintes et autant de thérémines reliés entre eux. Cette connexion produit des sons continus actionnés et modulés par le corps qui évolue sur la barre centrale.
Assignées à fabriquer des sons hybrides, les machines font écho au corps en mouvement.
Dans un paysage industriel, l’inévitable manque de certitude résonne dans un crescendo sonore étiré, à la conquête d’un espace poétique. »

Sanja Todorovic


NIETZSCHE (AB DEEP CHOPPED & SCREWED VOCAL REMIX)

samedi 14 novembre 2020

.

.https://www.youtube.com/watch?v=t4R4iy1kbBE&feature=youtu.be
 

NIETZSCHE (AB DEEP CHOPPED & SCREWED VOCAL REMIX)

Performance
samedi 14 novembre 2020

> Antoine Bozzoli <

Sur une invitation des Ateliers Vortex, en partenariat avec Why Note, Antoine Bozzoli, diplômé de l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon, a proposé une création sonore inédite, diffusée au sein de l’exposition de Maude Maris.

Jeune artiste et musicien électronique, Antoine Bozzoli développe un travail de peinture lié au monochrome. Ainsi, il met en perspective différents points de vue d’une même peinture, à la manière des différents mixs d’un même morceau. D’autre part, il produit des pièces sonores, basées sur des ambiances musicales auxquelles il ajoute des éléments vocaux issus de la littérature, de la philosophie, de l’histoire de l’art. La pièce réalisée aux Ateliers Vortex s’inscrit dans cette modalité de production. Elle est composée en live, à partir de différents arrangements – atmosphères sonores conçues par l’artiste et lecture de Ainsi parlait Zarathoustra en version livre audio.


> Lien vers l’exposition <


APÉRO MULTIPLE V

vendredi 5 juillet 2019

.
.
.
.
.
.
.
.
.

APÉRO MULTIPLE V

Événement
vendredi 5 juillet 2019

Multiples
> Guillaume Dorvillé <
> Frédéric Houvert <
> Violaine Lochu <
> Cécilia Philippe <

Lancement du catalogue 2012 – 2018
des Ateliers Vortex

> Conception graphique : Atelier Tout va bien <

Programmation vidéo
> Driss Aroussi <
> Julie Chaffort <
> Elodie Collin <
> Laura Henno <
> Ana Maria Gomes <
> Lola Gonzàlez <
> Jade Jouvin <
> Camille Llobet <
> Randa Maroufi <

Musique
> Set de Nicolas Thirion & Baptiste Chatel (Why Note) <
> DJ set d’Alcor <
> Table de ping-pong sonore (Why Note) <


> Télécharger le communiqué de presse <


Photographies : © Cécilia Philippe, 2019

APÉRO MULTIPLE III

17 juin —
25 juin 2016

APÉRO MULTIPLE

Co-produit par les Éditions Untitled
17 juin — 25 juin 2016

> Marc Camille Chaimowicz <
> Esther Hoareau <
> Cécile Maulini <
> Myriam Mechita <
> Diego Movilla <
> Emma Perrochon <
> Elsa Tomkowiak <
> Ida Tursic & Wilfried Mille <

> François Bénard <
> Adrien Chevalley <
> Jérôme Conscience <
> Guillaume Dorvillé <
> Martin Jakob <
> Cathy Jardon <
> Brice Jeannin <
> Thomas Koenig / Lucie Sgalmuzzo <
> Franscico da Mata <
> Cécile Meynier <
> Hugo Schüwer Boss / Hugo Pernet <

LES ÉDITIONS UNTITILED

gérées par l’association Allégorie réelle
> www.editions-untitled.fr <

« Fondée par l’Association Allégorie Réelle, la maison d’Édition Untitled a pour mission de produire et diffuser des oeuvres multiples. Le multiple, oeuvre originale éditée en plusieurs exemplaires, numérotée et signée de la main de l’artiste, peut-être de support et de technique très diverses : lithographie, sérigraphie, volume, vidéos, sons, photographie…
L’objectif de l’association est d’assister et soutenir les artistes dans leur processus de création en mettant à leur service une expérience et un professionnalisme dans le suivi de production et de diffusion des oeuvres d’art. […] »

Photographies:
© Cécilia Philippe, 2016

APÉRO MULTIPLES

22 mai
2015

APÉRO
MULTIPLES

Soirée screening vidéo
22 mai 2015

> Loukia Alavanou <
> Alice Angeletti <
> Julia Charlotte Richter <
> Laure Cottin Stafanelli <
> Clarisse Hahn <
> Lucie Mercadal <
> Marko Schiefelbein <
> Corinna Schnitt <
> Emmanuel Van Der Auwera <
> Elizabeth Wurst <

À l’occasion de la carte blanche vidéo «Dos-à-dos», Les Ateliers Vortex, en partenariat avec l’ENSA de Dijon, ont présenté le travail de dix plasticiens vidéastes. Sous le commissariat de Lucie Mercadal et Laure Cottin Stefanelli, ce screening vidéo a été diffusé lors de la soirée Apéro Multiples où étaient présentés les nouveaux tee-shirts d’artistes sérigraphiés ainsi que les multiples de Fanny Durand.

Dos-à-dos, pour dire face-à-face, pour figurer le regard du filmeur sur l’homme qu’il filme. Dos-à-dos manifeste cet acte de regard à double détente, à la fois tourné vers soi-même, et en même temps vers l’autre. Faire un portrait engage un mouvement paradoxal qui a lieu à la fois pile et face caméra.

«Le sujet vire. […] Il vire du clair à l’obscur, du distinct au confus. Il perd son auréole. […] Le portrait procéderait moins de la vision de face — celle du modèle par le peintre ou le photographe — que de cette improbable vision que pratiquait Descartes en regardant depuis l’arrière d’un œil de bœuf tranché à travers lequel il espérait voir comment l’œil voyait [1].»

Dans Wishing Well, le visage de Blanche Neige épinglé au fond d’un puits, chante. Loukia Alavanou propose une réinterprétation gluante et morbide de la chanson naïve et romantique de Walt Disney.

Alice Angeletti, caméra au poing, succombe au fantasme du voyeur et assiège de désir sa cage d’escalier.

Dans un village du désert mexicain Clarisse Hahn filme des hommes, ils portent des blue jeans, des ceinturons imposants et des santiags. La réalisatrice reste en retrait, fascinée par la manifestation de cette masculinité stéréotypée.

Le nageur sort de l’eau, sa respiration est haletante. Dans son film, Laure Cottin Stefanelli observe les subtiles variations du corps de Timothy, de l’excitation au presque endormissement.

Dans Ball Spielen de Corinna Schnitt, un couple en tailleur et costume se provoque, se défie et se séduit en jouant au basketball.

Sur un banc, une fille et un garçon se reniflent longuement. Banc public de Lucie Mercadal parodie les prémisses de l’acte amoureux.

Dans sa performance filmée, You & me everyday, Elizabeth Wurst chaussée de bottes rouges déclare son amour aux pompes à essence.

Promised Land de Julia Charlotte Richter a lieu dans une salle de réunion aseptisée où un groupe de jeunes businessmen se livrent à un face à face insoutenable.

Dans Mustang jeans, de Marko Schiefelbein, de l’onirisme à l’ironie, une femme nous raconte son voyage en bus.

Enfin, dans une chambre d’hôtel, le visage de cire d’une poupée humaine élabore une étrange chorégraphie; la poupée, le cowboy, l’homme perdu, dans Theater of Oklahoma, Emmanuel Van der Auwera filme des faces qui deviennent des icones aux corps d’ectoplasmes.

Chacun de ces artistes, en définissant des rapports troubles de désir et de pouvoir, de manière frontale ou détournée, proposent une relation singulière à soi, à l’autre, au portrait et reprennent bien à leur compte la devise de Descartes, «Je m’avance masqué.»

[1]
Jean-Luc Nancy,
L’autre portrait,
Éditions Galilée,
Paris, 2013.

> Télécharger le communiqué de presse <

Photographies:
© Les Ateliers Vortex, 2015

FESTIVAL MV

15 avril
2015

FESTIVAL MV

Performance
15 avril 2015

> Tetsuya Umeda <

Né en 1980,
vit et travaille à Osaka.

Dans le cadre de la deuxième édition du Festival MV, festival de musique et d’arts visuels, Les Ateliers Vortex ont accueilli le temps d’une soirée, un événement culturel artistique, une performance de Tetsuya Umeda.

Artiste japonais, il expérimente avec les éléments: le vent, le feu, l’eau, la lumière. Chacune de ses performances, unique, questionne le rapport entre espace et son à travers l’usage d’objets du quotidien et la prise en compte de son environnement. Ce qui l’intéresse, c’est l’imprévisibilité, l’issue incertaine des ses orchestrations.

Photographies:
© Les Ateliers Vortex, 2015

Supports Festival MV:
© Atelier Tout va bien, 2015

SOTO

3 avril
2013

SOTO

Performances
3 avril 2013

> Inukai Miyaki <
> Kyun-chome <
> Nomoto Shohei <
> Nozawa Ken <
> Wakaki Kurumi <
> Yagi Takayuki <

Cette soirée performance s’inscrit dans un partenariat mené avec l’ISBA Besançon et l’association franco-japonaise de Gunma; le commissaire Frédéric Weigel a convié des performers à investir l’espace d’exposition sur le concept «Soto».

«L’idéogramme soto possède une grande richesse sémiotique: non combiné il prend la valeur spatiale de l’extérieur (par exemple l’extérieur de la maison), combiné il peut prendre de nombreuses variations qui concernent des domaines touchant à l’extériorité (architectural, social, psychologique…); ainsi par exemple gaikokujin (étranger), gaiki (plein air), gaiken (apparence), geka (chirurgie), gaikou (diplomatie), gaikai (monde extérieur), gaikouteki (extraverti), kougai (banlieu), reigai (exception), shingai (impensable), gengai (sous-entendu), yoteigai (imprévu), rongai (hors de question), jyogai (exclusion)… Au Japon, le concept de soto possède des connotations qui relèvent du manque, souvent l’extérieur est pensé comme non normatif.
Les différents performeurs ont été sélectionnés en cohérence avec le concept soto: en dehors des réseaux existants, ils interviennent parfois dans des espaces publics, ils vivent dans des régions extérieures à Tokyo, certains tentent de se structurer indépendamment en montant des lieux improbables…»

— Frédéric Weigel, responsable de la section artistique de l’association franco-japonaise de Gunma

Photographies:
© Les Ateliers Vortex, 2013