RENCONTRE Extra Résidence à l’Hôtel des Ducs

Samedi 17 juin 2022


RENCONTRE

entre l’artiste Coline Jourdan, la direction de l’entreprise SMT Rotarex, les salariés et Maud Dégruel À l’Hotel des Ducs Samedi 17 juin 2022

Exposition SUBLIMATION


Cette rencontre rassemble l’artiste Coline Jourdan, la direction de l’entreprise SMT Rotarex, les salariés et Maud Dégruel, chercheuse en Philosophie à l’Université de Bourgogne sur la question de l’expérience esthétique au travail.

Cette rencontre a fait suite à la résidence de l’artiste au sein de l’entreprise dans le cadre d’Extra Résidence. Cette édition s’inscrit dans le cadre du dispositif « Art et mondes du travail » financé par le ministère de la Culture.

> Coline Jourdan <


Lien vers l’exposition <


Crédits photographiques : © Les Ateliers Vortex, 2022

ART FAIR // DIJON

30 septembre — 2 octobre 2022


ART FAIR // DIJON
Exposition hors-les-murs
Dijon
30 septembre – 2 octobre 2022

> Cédric Esturillo <
> Marion Lemaître <
> Violaine Lochu <
> Mazaccio & Drowilal<
>Flora Moscovici <
> Diego Movilla <
> Sarah del Pino <
> Mona Rocher <
> Théophile Sartori <

Les Ateliers Vortex présentent une sélection de sérigraphies à l’occasion de la Dijon Art Fair 2022. Une manière de promouvoir un lieu d’exposition, mais aussi et surtout, un lieu de production d’Art Contemporain.

À l’occasion de chaque exposition, les artistes sont amenés à concevoir et produire une oeuvre de sérigraphie originale éditée à 40 exemplaires, avec l’aide de Sarah Roussel, sérigraphe.


> Boutique en ligne <


Crédits photographiques: © Les Ateliers Vortex, 2022

RÉSONANCES FLUVIALES

1 juillet – 8 juillet 2022


RÉSONANCES FLUVIALES

Exposition hors-les-murs
Au Maquis, Écluse 51S – Lac Kir – Dijon
1 – 8 juillet 2022

Co-production Les Ateliers Vortex et Zutique Production

> Julia Kremer <

Vit et travaille entre Bruxelles et Dijon

Les Ateliers Vortex et Zutique, désireux d’engager des collaborations pérennes, s’associent pour accueillir en résidence Au Maquis l’artiste plasticienne Julia Kremer.
Diplômée des écoles d’art de Perpignan et Cergy-Pontoise, Julia Kremer vit et travaille à Bruxelles. En prenant comme point de départ la photocopie, elle va trouver le moyen d’utiliser tout ce que la machine lui met à disposition pour recomposer, par éclatement, une image. En déchirant, assemblant, scotchant et collant tous les A3 qui sortent de sa photocopieuse, elle construit des images, de grandes portes ouvertes sur un monde imaginaire. Julia Kremer utilise la photocopieuse comme un outil de production dont l’histoire administrative devient un prétexte pour nous plonger dans des paysages mystérieux de grain et de bruit.

 

« RÉSONANCES FLUVIALES »
Bruxelles – Dijon
 
« Ma fenêtre donne sur l’écluse.
Les péniches traversent, imposantes et régulières.
Elles donnent au temps une vitesse navigable.
Je projette mon regard sur un ailleurs qui n’est nulle part.
Juste une vue au travers des murs.
J’habite une pensée liquide.
La maison devient corps stable, elle est le cadre et l’image.
Je distingue un tableau en mouvement insaisissable.
Ce lieu est comme l’écho de mon domicile bruxellois.
Je souhaite rendre visible le temps d’un passage Au Maquis, le paysage. »
 
Julia Kremer
 

Photographies : © Les Ateliers Vortex, 2022

PRIX IMPRESSION PHOTOGRAPHIQUE VII

11 février — 22 mai 2022

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PRIX IMPRESSION
PHOTOGRAPHIQUE VII

Exposition hors-les-murs
Musée Nicéphore Niépce, Chalon-sur-Saône
11 février 2022 — 22 mai 2022

> Thomas Cartron <

Dans la même logique que le dispositif de production de multiples d’artistes, Les Ateliers Vortex ont proposé pour la septième fois une bourse de production photographique destinée à soutenir la jeune création contemporaine. Pour l’édition 2021, Les Ateliers Vortex et le musée Nicéphore Niépce ont primé le projet photographique « Ruins (through the eyes of Narcissus) » de l’artiste Thomas Cartron.

Cette démarche, soutenue par la Région Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre de sa politique de soutien aux arts plastiques, porte un regard particulièrement attentif sur la valorisation de jeunes artistes et plus particulièrement en matière de création photographique contemporaine.

Depuis 2016, la remise de cette récompense est également portée par le musée Nicéphore Niépce de Chalon-sur-Saône qui propose l’accompagnement technique de ses équipes, un accès inédit au musée ainsi que l’exposition de l’œuvre récompensée au sein de ses collections pour une durée de trois mois.

Afin de déployer son projet et de préparer son accrochage, Thomas Cartron a bénéficié d’un temps de recherche de quatre jours au sein du musée Nicéphore Niépce début 2022 et d’un accès à ses collections ainsi qu’à son laboratoire technique.


« Depuis plusieurs mois, je travaille sur un nouveau corpus d’oeuvres, regroupées sous le titre C’est presque l’invisible qui luit, en référence à un poème de Rainer Maria Rilke extrait des Quatrains Valaisans. Un projet sur le désir, sur les reflets et l’invisible. Le reflet c’est le dialogue, la rencontre avec l’autre. L’invisible, c’est le non-dit, le sentiment partagé, mais qui peine à se formuler. Un projet qui regroupera plusieurs séries d’oeuvres traitant de notre rapport à l’image, de notre regard sur les choses, sur le monde, sur nous-mêmes. Un projet sur la matérialité et l’immatérialité de l’image, sur l’imperceptible et l’indicible, convoquant des techniques déjà engagées dans mes anciennes oeuvres, mais également de nouveaux gestes, développés autour du dessin et de la gravure, associés à des matières ou supports photosensibles. 

Au sein de ce corpus C’est presque l’invisible qui luit, je souhaite réaliser une nouvelle image pour la série Ruins, sur le regard de Narcisse. Les sentiments du personnage serviront ainsi de base pour parler de notre place au monde et de notre rapport à l’autre, la métamorphose ovidienne en fleur vue non pas comme le symbole d’une culture de l’égocentrisme, mais comme une tentative d’épanouissement du soi. 

Les oeuvres de la série Ruins sont réalisées à partir d’images que je photographie moi-même en argentique ou numérique, et de photographies anciennes, d’archives, que je sélectionne au gré de mes recherches. Je retouche ensuite ces images afin de produire deux impressions, l’une en négatif, l’autre en positif. La première est imprimée en UV sur un miroir placé au fond du cadre, la deuxième sur une plaque de verre qui vient se superposer au miroir et en accentuer les effets de trouble et de reflets. Un geste expérimental qui convoque un mélange de techniques archaïques et contemporaines et utilise les pouvoirs de transparences et de réflexions des différents supports pour offrir un rendu qui fascine autant qu’il perturbe le regard du spectateur. »

Extrait note d’intention – Thomas Cartron


> Interview rétro-futuriste de Thomas Cartron, Sparse <

> Article du musée Nicéphore Niépce  <


Ruins (through the eyes of Narcissus) – Photographie argentique, impression UV sur miroir et plaque de verre 120x80cm, cadre en aluminium noir, 2022.
© musée Nicéphore Niépce